Idée de plan pour les moniteurs d'activités comme FitBit


Titres possibles:
Les moniteurs d’activités sportives digitales aident les jeunes à devenir et rester en forme.

Est-ce que les moniteurs d’activités sportives peuvent changer les habitudes

Introduction:  Expliquer la situation : les moniteurs d’activités sportives digitales deviennent de plus en plus populaires et leur usage impact la santé physique de ceux qui les utilisent car ils entraînent de bonnes habitudes d’où découlent des résultats positifs

¶ 1 - La cause qui déclenche l’effet boule de neige :  on achète des moniteurs d’activités parce qu’on veut faire de l’exercice. Les bracelets ont toutes sortes d’indications qui poussent les gens à faire une certaine quantité d’activités (nombre de pas / affichage de l’effort pour chaque type d’activités : nombre de calories brûlées / consommées par activités) : motivation d’accomplir un minimum d’activité par jour.

¶ 2      Quand on fait l’exercice et qu’on reçoit l’information, on peut mieux comprendre sa situation (quand est-ce qu’on fait le plus d’exercices / le moins – quel type d’exercice notre corps et cœur bénéficient le mieux/plus – l’impact de l’exercice sur sa santé : son rythme cardiaque / son sommeil / etc….

¶ 3      Quand on sait mieux ce qu’on fait, on peut améliorer ses performances personnelles.

¶ 4      On peut aussi entrer en compétition avec un réseau d’amis ; ce qui peut encourager les individus à faire plus d’exercice et aussi mieux. Motivation

¶ 5      Le point final est que les moniteurs rendent les gens plus responsables de leur choix car leur choix est illustré et mesuré. En conséquence, les gens sont plus actifs, mais surtout plus éduqués sur l’impact de leurs activités sportives, donc, ils ont plus de contrôle pour mener une vie saine……

Sources possibles
http://ungestealafois.co/2015/10/sy-retrouver-avec-les-moniteurs-dactivite.html






https://www.medicalnewstoday.com/articles/254902.php

En Français
https://www.silvereco.fr/etude-my-sante-mobile-lusage-dun-coach-electronique-a-un-impact-sur-la-sante/3119349

https://www.lesechos.fr/14/10/2016/LesEchosWeekEnd/00049-028-ECWE_connecte-pour-rester-en-bonne-sante.htm

Partie de l’article qui concerne les Fitbit (bracelet moniteur d’activité) - parts in bold could be citations in your essay.
Concours internes pour les salariés 
Le monde de l'entreprise commence aussi à s'approprier ces équipements, afin de satisfaire aux nouvelles législations qui les obligent à tenir compte du bien-être des salariés. Total, SAP ou Roche ont ainsi fait appel à Withings, le champion français des objets connectés de bien-être, pour promouvoir le «bien-être collectif" via des concours internes. Outre-Atlantique, Target, l'un des poids lourds de la distribution, a équipé gratuitement 30000 salariés de bracelets Fitbit. À charge pour eux de participer en équipe à une compétition d'un mois. À la clé, pour les vainqueurs, 1 million de dollars à verser à l'organisation caritative de leur choix! La SNCF, elle, a sollicité l'automne dernier la participation de passagers du RER à une compétition: il s'agissait de comptabiliser leurs nombres de pas, afin de valoriser l'usage des transports en commun. Plus de 10000 voyageurs-marcheurs ont joué le jeu!
De l'avis des utilisateurs, on devient vite accro. Il a suffi qu'on lui vole sa montre Activité Pop, pour que Frédérique Grigolato, une ancienne de la grande distribution aujourd'hui à la tête de sa propre entreprise Clic and Walk, en prenne conscience. «Le retour à la sonnerie du réveil a été violent! Les vibrations de la montre, elles, vous réveillent en douceur, bien calées sur vos phases de sommeil léger», explique cette dynamique quadra qui n'en revient pas de la place prise par ce gadget dans sa vie. Lire sa courbe de sommeil fait désormais partie de ses rituels du matin, au même titre que consulter les SMS ou les mails. Elle garde aussi l'oeil sur son nombre de pas quotidiens. «Avec cet outil, je n'ai plus besoin de m'inquiéter de ma forme, je contrôle juste ce qu'il faut et j'ajuste mon comportement si besoin. D'autant que les récompenses virtuelles de l'appli et ses félicitations quotidiennes donnent envie de continuer», sourit-elle. Marcher plutôt que prendre le métro ou le bus, se coucher plus tôt ou faire une microsieste: Frédérique Grigolato a rapidement trouvé quelques clés pour améliorer sa forme. Et impossible de vivre sans! Deux jours après le vol de sa montre, elle s'est empressée de commander la même. Noire, bien sûr. Et heureuse surprise, elle peut encore accéder à l'historique de ses données! Pour Éric Carreel, le fondateur de Withings, récemment racheté par Nokia, «c'est cet accompagnement qui est vertueux». En forme de challenge, parfois. Chaque semaine, ce randonneur chevronné qui affiche 10 millions de pas en un peu plus de deux ans, reçoit son «score» qu'il compare à celui de ses proches. «Je ne prends plus jamais la voiture, j'emprunte plus souvent les transports en commun et je marche. Ma femme aussi marche beaucoup plus depuis qu'elle est équipée, ajoute-il. La marche a ceci de formidable que plus on en fait, mieux on se sent.» 
Karine Ferri, la nouvelle présentatrice de «Danse avec les stars», est elle aussi devenue «addict» à sa montre Fitbit (elle est ambassadrice de la marque américaine). Depuis sa première maternité en janvier, elle jongle avec les horaires. «Elle m'aide, comme un coach, à surveiller mon sommeil, mon activité physique et mon alimentation», témoignait récemment la jeune femme. Autre ambassadeur de Fitbit, Yohann Diniz, finaliste à Rio du 50 km marche, utilise le bracelet pour réétalonner ses entraînements. «C'est aussi utile pour la préparation d'un marathonien amateur», assure le champion. Les sportifs sont en effet de bons «clients». Avide de performance et adepte du kitesurf, Cédric Mangaud a développé un dispositif pour évaluer ses sauts et partager ses exploits. L'intérêt: «Si on est dans le top 10 des pratiquants du jour, tout le monde le sait», pointe ce quadra, qui a transformé son innovation en entreprise. Sa start-up PIQ vient d'ailleurs de décrocher le Prix de l'objet connecté 2016. «Se mesurer devient vite addictif, reconnaît-il. Cela peut pousser à se dépasser, au risque de se blesser. Quand je n'ai pas mon capteur, je prends spontanément moins de risques, je ne saute pas plus de 7 à 8 mètres...»

En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/14/10/2016/LesEchosWeekEnd/00049-028-ECWE_connecte-pour-rester-en-bonne-sante.htm#fPPidxWygjuS7UUb.99


http://www.c-yourmag.net/post/2013-11-21/quand-la-sant%C3%A9-passe-par-le-smartphone